vendredi 26 septembre 2014

fenêtre


 

Cadres ventilant sur un regard extérieur

Exhumant l’arôme d’un automne

M’imaginer nos chaumières sans leurs apparats

M’étouffe, m’angoisse

Sur la charpente de mon humble

Je leurs céderais l’intégralité

Faire des mes murs, des ouvertures

Pour inspirer le paisible, l’animer en pied de vent

L’ombre au tableau

Je ferais de mes voisins

Des voyeurs malgré eux!

1 commentaire:

  1. C'est ce qui s'appelle faire de l'air!!! J'aime bien le parallèle entre les fenêtres et l'ouverture aux autres! C'est aussi très vrai qu'à l'automne, on étouffe avec les fenêtres fermées!

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